Cartographie

Mis à jour le 04/04/2014

La même méthodologie a été employée dans les quatre départements de la région pour définir l’aléa, à partir des travaux pré existants en Charente-Maritime. Elle intègre :

  •  la sensibilité de la végétation,
  •  la taille des massifs forestiers,
  •  la pression de mise à feu.

Massifs à risque :

La délimitation des massifs à risque a été réalisée en sélectionnant les secteurs possédant une forte proportion d’aléa moyen à très élevé, en validant les choix par des visites de terrain, puis en appliquant un « lissage » de manière à rendre leur utilisation plus commode (traçage d’une enveloppe à 200m des zones boisées, application de corrections manuelles pour supprimer des enclaves et assurer la cohérence avec la limite départementale,...).

Communes devant faire l’objet de P.P.R. incendies de forêts

On peut observer que le développement urbain se focalise nettement autour de la Communauté d’Agglomération de Poitiers (et dans une moindre mesure autour de Châtellerault). Les communes connaissant la plus forte croissance urbaine comportent peu de zones boisées présentant les niveaux d’aléa les plus élevés à l’origine de leur intégration dans un massif à risque.
Les 15 communes pouvant présenter potentiellement des « situations à risque » sont :

  •  Béruges,
  •  Bonneuil-Matours,
  •  Dangé-Saint-Romain,
  •  Dissay,
  •  La Chapelle-Moulière,
  •  Montamisé,
  •  Montmorillon,
  •  Naintré,
  •  Quincay,
  •  Saint-Georges-les-Baillargeaux,
  •  Scorbé-Clairvaux,
  •  Thuré,
  •  Vouillé,
  •  Vouneuil-sous-Biard,
  •  Vouneuil-sur-Vienne.

Sur ces communes, le bâti existant en contact immédiat avec les zones d’aléa est relativement rare. Il a donc été décidé que, pour l’instant, la prescription de P.P.R n’était pas prioritaire.